Totalement soumise à mon Maître black depuis près de 6 mois, celui-ci me convoque 2 à 3 fois par semaine pour parfaire mon dressage ; lorsque j'ai répondu à son annonce, je voulais satisfaire un
fantasme entretenu dès que j'ai commencé à m'habiller en femme... quand il m'a appelé quelques jours plus tard, il s'est montré de suite si autoritaire et directif que j'acceptais son rendez-vous,
le soir même !!!
A l'heure convenue, je sonnais chez lui et, à genoux sur son paillasson, les mains dans le dos, j'ai attendu qu'il ouvre sa porte...
Quand il est apparu devant moi, j'ai été fascinée par son crâne rasé, son visage sévère et son imposante musculature d'autant qu'il ne portait qu'un slip blanc ! Pendant qu'il accroche à mon cou un
collier de chien, il en profite pour frotter son paquet contre mon visage et, c'est à 4 pattes, tirée par une laisse que je le suis jusqu'à son salon.
Avant de s'installer dans son fauteuil, il retrousse ma minijupe sur le dos, pelote mes fesses et me demande le gode que j'avais bricolé (sur son ordre), juste avant de venir. Je sors donc de mon
sac un superbe phallus artificiel de couleur noire puis, il me noue un bandeau sur les yeux :
- fais-toi jouir en imaginant que je suis en train de te baiser... Si tu me fais bander, je te prends en main dès ce soir !
Alors, je me remets en mémoire les termes de son annonce « Maître black, 35 ans, TBM, cherche travesti soumise, cérébrale, aimant les mots crus et voulant devenir femme à blacks ».
Alors, je prends le sexe en plastique et, sans la moindre difficulté, je me l'enfonce profondément :
« oh ! Comme c'est bon d'écarter les fesses pour son Maître black ! Vas-y, salaud, baise-moi, tronche-moi, nique-moi ; tu le sais que je suis accro à ton gros zob et que tu peux me demander tout ce
que tu veux... Depuis si longtemps, j'avais besoin d'être la femelle d'un noir et qu'il m'apprenne à jouir du cul comme une vraie femme ! Mes fesses, ma bouche, mes mains et mon corps sont à toi ;
tu peux en faire ce que tu veux pour toi et, même tes potes si tu le désires...
Touche mes tétons et regarde comme je suis excitée ; jamais, je ne me suis sentie aussi femelle avec un mec... Oh! Je sens tes couilles qui claquent contre mes fesses ; tes couilles pleines de
jus... Oui, jouis sur mon visage ! » Et je remarque que, sans avoir eu d'érection, ma petite culotte de dentelles est inondée ; je tremble de partout... J'attends sa réponse...
Il se lève, ôte mon bandeau et m'entraîne dans les toilettes :
- tiens ma bite quand je pisse... Je baisse son slip et je prends en mains son énorme zob turgescent et le dirige vers la cuvette ; pour les dernières gouttes, j'agite lentement afin de ne rien
salir et, quand il estime que "le travail est bien fait", il s'essuie dans les boucles de ma perruque !
Il me ramène au salon, me promène dans la pièce et me fait avancer avec des petits coups de laisse sur les fesses ; de temps en temps, il enfonce un peu plus le gode. Il retourne s'asseoir et
retire la fine étoffe qui emprisonne son imposante virilité ; il me cale entre ses jambes écartées et commence d'abord par me gifler les joues avec son zob !
Puis, il me prend par le cou et force ma bouche : - allez, connasse, fais ton boulot de suceuse ! Tu veux de la bite noire : tu vas en avoir... Tu veux te faire défoncer : tu te feras défoncer...
Par moi, par mes potes, par des inconnus ! Tu deviendras vite mon esclave sexuelle et tu me supplieras à genoux ; tu seras à ma disposition la plus complète... Compris, lopette ?
Je lève les yeux pour lui signifier mon accord d'autant qu'il vient de me faire comprendre qu'il me prend à son service... Alors, je m'applique à sucer et à lécher ce gros sexe noir dont je
commençais déjà à être folle...
- Avant que je te fasse l'honneur de te posséder, je vais t'apprendre à être une vraie suceuse ; je crois que tu peux être douée... Passe ta langue mieux que ça, pouffiasse ! Une bite de noir,
c'est au moins 25 centimètres : c'est vrai aussi que ça ne se pompe pas comme une petite queue de blanc ! Tu aimes ça, hein, petite blanche vicieuse ? Tu vas adorer te faire défoncer la bouche par
des bites noires quand tu seras MA femelle : tu es d'accord, ma pute à nègres ?
Ce dernier qualificatif nous fait exploser tous les 2 en même temps ; il se vide sur mon visage en une douzaine d'éjaculations abondantes...
- tu es prête à vivre totalement ce que tu souhaites ?
Le "OUIIIIII " de ma réponse, les yeux dans les yeux, a valeur d'accord définitif... Jusqu'au petit matin, je l'ai pompé encore 5 fois. Copieusement insultée, injuriée, rabaissée, je prenais
plaisir à être humiliée de la sorte ; chaque fois qu'il me godait, il m'arrachait mes confidences les plus secrètes, mes aveux les plus hard et ma soumission la plus totale... Il savait que
j'allais lui appartenir, que j'accepterai tout de lui, que je serai heureuse de mon rôle de femelle inférieure devant la supériorité de la race noire... En rentrant chez moi, j'avais envie de
hurler à chaque passant que j'appartenais à un Maître black et que j'allais, enfin, être la femelle de mes rêves...
Allongée sur le canapé du salon, je rêvassais les yeux fermés ; certaines images sont restées gravées dans ma mémoire, comme un film longtemps attendu... La scène de la première fellation me fait
frissonner et je ne peux résister au besoin d'aller chercher un autre gode noir, dans la salle de bains. Au passage, j'en profite pour admirer dans le miroir le visage de cette femme épanouie et
heureuse parce qu'elle a fait jouir un homme. La jambe gauche posée sur la baignoire, je m'enfile ce sexe artificiel, surprise qu'il puisse entrer aussi facilement malgré la grosseur et la longueur
de l'engin ! Je suis sur le point de me laisser aller au plaisir lorsque le téléphone sonne : je refuse de répondre mais l'insistance m'oblige à décrocher, dans un halètement que n'importe quelle
personne attentive peut déceler même si je peux prétendre que j'ai couru pour prendre la communication...
- Oui, bonjour ! Silence au bout du fil...
- Oui bonjour, je vous écoute !
- Alors, petite salope blanche, contente de ta première nuit d'esclave ?
Le rouge me monte aux joues, je bafouille :
- Oui Maître, merci pour tout... Je voulais vous di...
Il me coupe brutalement et son ton devient plus autoritaire :
- ta gueule, connasse ; je suis certain que tu dois déjà être en train de te goder : avoue, pouffiasse, avoue !
A-t-il envie de faire l'amour par téléphone ?? Après tout, l'idée me séduit :
- oui, Maître ! Encore une fois, vous avez raison... Je suis assise dessus et je pense humblement à Vous, à votre sexe, à la façon dont vous m'avez traitée...
Il éclate de rire :
- eh bien, ça tombe bien parce que je suis en bas de chez toi ! Laisse la porte entr'ouverte et, le temps que je prenne l'ascenseur, change-toi, mets-toi une nuisette et attends-moi dans ton lit !!
Ah, j'oubliais : garde le gode...
Docilement, après m'être changée, je me couche vêtue d'un déshabillé rouge des plus sexy ! J'ai beau me dire que je suis folle de me comporter de la sorte mais, en même temps, je suis profondément
ravie qu'un homme me prenne en mains ! Je venais à peine de poser un CD de musique classique dans le lecteur qu'il est apparu dans l'encoignure de la porte : son regard est profond, sa chemise
ouverte jusqu'au torse ; il portait un jean moulant avec un gros ceinturon et, autour du cou, la laisse qui avait servi à mon initiation. Il me fixe, s'approche de moi et me cingle les fesses avec
la lanière en cuir torsadé :
- je t'avais dit de te coucher... J'ai horreur que l'on me désobéisse...
Tête basse et penaude, je me réfugie entre les draps pendant qu'il se déshabille : le salaud, il prend son temps avant de me rejoindre ! Aussitôt, il me tourne sur le côté et empoigne immédiatement
le gode et le ressort :
- eh ben, ma salope, gourmande en plus ! Il me claque les fesses et retrousse le déshabillé :
- quel bon cul de pouffiasse ! Il faudra bien le rôder pour en faire un vrai garage à bites noires ! Dis-le, chuchote-le, hurle-le que tu veux cette vie de femelle ! Allez, fais ce que te demande
ton Maître... Et, sans la moindre préparation, il me l'enfonce au maximum :
- Oh oui, Maître ! Je suis prête à vivre cette vie d'esclave sexuelle, de me soumettre à un Black autoritaire et vicieux, qui me traitera comme la vraie femelle blanche soumise que je suis... C'est
trop bon de donner ma chatte de travesti à un vrai Homme comme vous !
Il se surélève sur les coussins et, m'attrapant par le cou, il frotte son bas-ventre sur mon visage :
- je sais que tu es déjà accro à la bite noire ! Enlève mon slip avec les dents...
Son odeur m'enivre, je suis comme une petite chienne en chaleur, en demande et en manque ; finalement, j'arrive à baisser son slip et, lui, se positionne derrière moi : je palpite, j'ai peur mais
je me laisse faire... Il positionne son zob contre l'entrée de ma chatte et, dans un coup de reins puissant, il s'enfonce en moi :
- Voila, tu es une véritable femelle, à présent !!!
Ces simples mots chuchotés à mon oreille résonnaient comme un compliment, comme la certitude d'avoir choisi le bon chemin. Chaque coup de reins me remplit d'adrénaline et, cambrée comme je ne l'ai
jamais été, je m'offre à lui sans pudeur ni retenue. Maître black me tient si fort par les hanches que je me colle encore plus à lui, quitte à ce qu'il me déchire et me fasse mal ! Ses couilles
claquent contre mes fesses et la puissance de sa pénétration me rend encore plus docile, encore plus soumise, d'au
commentaire n° :4
posté par :
lailatvx
le: 10/10/2012 à 08h12
Tu suce bien ma salope
commentaire n° :5
posté par :
soum82
le: 04/03/2014 à 00h11
je vai t ajoute a mon skyp pour fantsme par cam pui rencontre
commentaire n° :6
posté par :
carolejoela02
le: 08/10/2018 à 16h01
j'aimerais tellement !
kiss bb
A l'heure convenue, je sonnais chez lui et, à genoux sur son paillasson, les mains dans le dos, j'ai attendu qu'il ouvre sa porte...
Quand il est apparu devant moi, j'ai été fascinée par son crâne rasé, son visage sévère et son imposante musculature d'autant qu'il ne portait qu'un slip blanc ! Pendant qu'il accroche à mon cou un collier de chien, il en profite pour frotter son paquet contre mon visage et, c'est à 4 pattes, tirée par une laisse que je le suis jusqu'à son salon.
Avant de s'installer dans son fauteuil, il retrousse ma minijupe sur le dos, pelote mes fesses et me demande le gode que j'avais bricolé (sur son ordre), juste avant de venir. Je sors donc de mon sac un superbe phallus artificiel de couleur noire puis, il me noue un bandeau sur les yeux :
- fais-toi jouir en imaginant que je suis en train de te baiser... Si tu me fais bander, je te prends en main dès ce soir !
Alors, je me remets en mémoire les termes de son annonce « Maître black, 35 ans, TBM, cherche travesti soumise, cérébrale, aimant les mots crus et voulant devenir femme à blacks ».
Alors, je prends le sexe en plastique et, sans la moindre difficulté, je me l'enfonce profondément :
« oh ! Comme c'est bon d'écarter les fesses pour son Maître black ! Vas-y, salaud, baise-moi, tronche-moi, nique-moi ; tu le sais que je suis accro à ton gros zob et que tu peux me demander tout ce que tu veux... Depuis si longtemps, j'avais besoin d'être la femelle d'un noir et qu'il m'apprenne à jouir du cul comme une vraie femme ! Mes fesses, ma bouche, mes mains et mon corps sont à toi ; tu peux en faire ce que tu veux pour toi et, même tes potes si tu le désires...
Touche mes tétons et regarde comme je suis excitée ; jamais, je ne me suis sentie aussi femelle avec un mec... Oh! Je sens tes couilles qui claquent contre mes fesses ; tes couilles pleines de jus... Oui, jouis sur mon visage ! » Et je remarque que, sans avoir eu d'érection, ma petite culotte de dentelles est inondée ; je tremble de partout... J'attends sa réponse...
Il se lève, ôte mon bandeau et m'entraîne dans les toilettes :
- tiens ma bite quand je pisse... Je baisse son slip et je prends en mains son énorme zob turgescent et le dirige vers la cuvette ; pour les dernières gouttes, j'agite lentement afin de ne rien salir et, quand il estime que "le travail est bien fait", il s'essuie dans les boucles de ma perruque !
Il me ramène au salon, me promène dans la pièce et me fait avancer avec des petits coups de laisse sur les fesses ; de temps en temps, il enfonce un peu plus le gode. Il retourne s'asseoir et retire la fine étoffe qui emprisonne son imposante virilité ; il me cale entre ses jambes écartées et commence d'abord par me gifler les joues avec son zob !
Puis, il me prend par le cou et force ma bouche : - allez, connasse, fais ton boulot de suceuse ! Tu veux de la bite noire : tu vas en avoir... Tu veux te faire défoncer : tu te feras défoncer... Par moi, par mes potes, par des inconnus ! Tu deviendras vite mon esclave sexuelle et tu me supplieras à genoux ; tu seras à ma disposition la plus complète... Compris, lopette ?
Je lève les yeux pour lui signifier mon accord d'autant qu'il vient de me faire comprendre qu'il me prend à son service... Alors, je m'applique à sucer et à lécher ce gros sexe noir dont je commençais déjà à être folle...
- Avant que je te fasse l'honneur de te posséder, je vais t'apprendre à être une vraie suceuse ; je crois que tu peux être douée... Passe ta langue mieux que ça, pouffiasse ! Une bite de noir, c'est au moins 25 centimètres : c'est vrai aussi que ça ne se pompe pas comme une petite queue de blanc ! Tu aimes ça, hein, petite blanche vicieuse ? Tu vas adorer te faire défoncer la bouche par des bites noires quand tu seras MA femelle : tu es d'accord, ma pute à nègres ?
Ce dernier qualificatif nous fait exploser tous les 2 en même temps ; il se vide sur mon visage en une douzaine d'éjaculations abondantes...
- tu es prête à vivre totalement ce que tu souhaites ?
Le "OUIIIIII " de ma réponse, les yeux dans les yeux, a valeur d'accord définitif... Jusqu'au petit matin, je l'ai pompé encore 5 fois. Copieusement insultée, injuriée, rabaissée, je prenais plaisir à être humiliée de la sorte ; chaque fois qu'il me godait, il m'arrachait mes confidences les plus secrètes, mes aveux les plus hard et ma soumission la plus totale... Il savait que j'allais lui appartenir, que j'accepterai tout de lui, que je serai heureuse de mon rôle de femelle inférieure devant la supériorité de la race noire... En rentrant chez moi, j'avais envie de hurler à chaque passant que j'appartenais à un Maître black et que j'allais, enfin, être la femelle de mes rêves...
Allongée sur le canapé du salon, je rêvassais les yeux fermés ; certaines images sont restées gravées dans ma mémoire, comme un film longtemps attendu... La scène de la première fellation me fait frissonner et je ne peux résister au besoin d'aller chercher un autre gode noir, dans la salle de bains. Au passage, j'en profite pour admirer dans le miroir le visage de cette femme épanouie et heureuse parce qu'elle a fait jouir un homme. La jambe gauche posée sur la baignoire, je m'enfile ce sexe artificiel, surprise qu'il puisse entrer aussi facilement malgré la grosseur et la longueur de l'engin ! Je suis sur le point de me laisser aller au plaisir lorsque le téléphone sonne : je refuse de répondre mais l'insistance m'oblige à décrocher, dans un halètement que n'importe quelle personne attentive peut déceler même si je peux prétendre que j'ai couru pour prendre la communication...
- Oui, bonjour ! Silence au bout du fil...
- Oui bonjour, je vous écoute !
- Alors, petite salope blanche, contente de ta première nuit d'esclave ?
Le rouge me monte aux joues, je bafouille :
- Oui Maître, merci pour tout... Je voulais vous di...
Il me coupe brutalement et son ton devient plus autoritaire :
- ta gueule, connasse ; je suis certain que tu dois déjà être en train de te goder : avoue, pouffiasse, avoue !
A-t-il envie de faire l'amour par téléphone ?? Après tout, l'idée me séduit :
- oui, Maître ! Encore une fois, vous avez raison... Je suis assise dessus et je pense humblement à Vous, à votre sexe, à la façon dont vous m'avez traitée...
Il éclate de rire :
- eh bien, ça tombe bien parce que je suis en bas de chez toi ! Laisse la porte entr'ouverte et, le temps que je prenne l'ascenseur, change-toi, mets-toi une nuisette et attends-moi dans ton lit !! Ah, j'oubliais : garde le gode...
Docilement, après m'être changée, je me couche vêtue d'un déshabillé rouge des plus sexy ! J'ai beau me dire que je suis folle de me comporter de la sorte mais, en même temps, je suis profondément ravie qu'un homme me prenne en mains ! Je venais à peine de poser un CD de musique classique dans le lecteur qu'il est apparu dans l'encoignure de la porte : son regard est profond, sa chemise ouverte jusqu'au torse ; il portait un jean moulant avec un gros ceinturon et, autour du cou, la laisse qui avait servi à mon initiation. Il me fixe, s'approche de moi et me cingle les fesses avec la lanière en cuir torsadé :
- je t'avais dit de te coucher... J'ai horreur que l'on me désobéisse...
Tête basse et penaude, je me réfugie entre les draps pendant qu'il se déshabille : le salaud, il prend son temps avant de me rejoindre ! Aussitôt, il me tourne sur le côté et empoigne immédiatement le gode et le ressort :
- eh ben, ma salope, gourmande en plus ! Il me claque les fesses et retrousse le déshabillé :
- quel bon cul de pouffiasse ! Il faudra bien le rôder pour en faire un vrai garage à bites noires ! Dis-le, chuchote-le, hurle-le que tu veux cette vie de femelle ! Allez, fais ce que te demande ton Maître... Et, sans la moindre préparation, il me l'enfonce au maximum :
- Oh oui, Maître ! Je suis prête à vivre cette vie d'esclave sexuelle, de me soumettre à un Black autoritaire et vicieux, qui me traitera comme la vraie femelle blanche soumise que je suis... C'est trop bon de donner ma chatte de travesti à un vrai Homme comme vous !
Il se surélève sur les coussins et, m'attrapant par le cou, il frotte son bas-ventre sur mon visage :
- je sais que tu es déjà accro à la bite noire ! Enlève mon slip avec les dents...
Son odeur m'enivre, je suis comme une petite chienne en chaleur, en demande et en manque ; finalement, j'arrive à baisser son slip et, lui, se positionne derrière moi : je palpite, j'ai peur mais je me laisse faire... Il positionne son zob contre l'entrée de ma chatte et, dans un coup de reins puissant, il s'enfonce en moi :
- Voila, tu es une véritable femelle, à présent !!!
Ces simples mots chuchotés à mon oreille résonnaient comme un compliment, comme la certitude d'avoir choisi le bon chemin. Chaque coup de reins me remplit d'adrénaline et, cambrée comme je ne l'ai jamais été, je m'offre à lui sans pudeur ni retenue. Maître black me tient si fort par les hanches que je me colle encore plus à lui, quitte à ce qu'il me déchire et me fasse mal ! Ses couilles claquent contre mes fesses et la puissance de sa pénétration me rend encore plus docile, encore plus soumise, d'au